Hop, chose promise chose due ! Plus de look sur ce blog ! Même Aurélie devrait s’y mettre :-)Je vous en avais parlé en septembre, je voulais réhabiliter la fringue sur ce blog. Comprendre me remettre à faire du shopping. Ma première formation arrivant à son terme et l’automne arrivant à grands pas j’ai envie de changement vestimentaire.
Alors c’est parti pour un look d’automne avec une marque que j’aime beaucoup, tellement que je suis allée me renseigner à son sujet. Vous pouvez lire une bafouille que j’ai fait tourner sur les réseaux justes en dessous. Cette marque c’est YERSE. Je l’ai découverte chez ma copine Anne qui tient la boutique Sapsak. Eh! oui, encore et toujours cette adresse où je reviens sans cesse car je ne suis jamais déçue. C’est mon passage obligé lorsque je vadrouille dans les rues de Montpellier. Elle correspond tellement à ce que je cherche en matière de style : simple, actuel, en un mot effortless.
C’est mon amie Sab qui s’est prêtée au jeu du photographe dans son jardin. Sa maison est entourée de nature, un vrai écrin de bien-être, qui correspondait à notre envie de mettre en avant les couleurs de la saison. Ma mini moi était là, un des meilleur moyen d’oublier l’appareil, c’est de me laisser emporter dans ses jeux, la lumière et la confiance font le reste.
J’ai un gros crush pour l’écharpe et la chemisette, même si ce n’est pas dans mes habitudes de porter ce type de coupes. Les matières sont tellement douces. L’imprimé de la pochette Mila Louise est pile dans l’air du temps.
Echarpe Yerse
Jean Mavi
Blouse Indi&Cold
Pochette Mila Louise
Boots EMU
Pour vous en dire un peu plus sur YERSE, Anne s’est prêtée au jeu des questions/réponses autour d’un café.
Comment et pourquoi Yerse?
J’ai découvert la marque il y a 5 ans grâce à une représentante. J’ai de suite craqué, le style, la maille omniprésente à chaque collection. Le fait que ce ne soit pas encore trop distribué à Montpellier. Un coup de cœur qui depuis est la moitié de ma collection . J’aime l’idée de pouvoir faire un total look avec cette marque, elle est complète: vêtement, accessoires ,chaussures…
Comment orientes-tu tes choix, comment pistes-tu les prochaines tendances?
Quand je vais noté Yerse, j’aime me dire que je sais pas à quoi m’attendre, je suis souvent surprise dans le bon sens, ils sont avant-gardistes et atypiques. Mes choix sont souvent à l’instinct. La marque existe depuis 1964, au départ, il était spécialisé dans la maille, le pull. Puis la marque a pris un tournant et s’est orienté vers une proposition plus globale pour proposer aux femmes un dressing qui leur ressemble. J’affectionne particulièrement chez eux les matières naturelles et le jeu, qu’ils en font en les mélangeant sur un même vêtement.
Pour toi quelles sont les qualités qu’un marques doit avoir dans sa relation à l’acheteur? Quelle est la plus-value de Yerse?
La première qualité c’est l’écoute. Même si en Espagne Yerse à ses propres boutiques, on sent que c’est une grande famille, nos interlocutrices sont présentes et disponible pour répondre à nos demandes. La relation est simple, facile.
Yerse c’est combien de collections par an ?
Deux collections pour femme et depuis 2016 pour enfant avec Little Yerse. J’adore l’idée de trouver des résonances dans le dressing mères-filles ; c’est le concept du « mini moi ». Derrière il y a une volonté de transmission et de moments partagés que j’affectionne particulièrement, surtout que chacune garde son identité, ici on a la volonté d’un clin d’oeil, une filiation. Durant l’année la marque propose souvent des collections capsules.
Pour toi Yerse c’est quelle femme?
Pour moi, c’est LA FEMME dans son ensemble.Celle d’aujourd’hui qui aime s’habiller sans y passer des heures, qui veut de belles coupes, de belles matières confortables et stylées. Yerse a cette immense qualité de savoir se renouveler en conservant l’essentiel, en sachant réactualiser l’intemporel. C’est une marque qui privilégie le contact, le ressenti, la douceur, l’union entre les traditions et le mouvement permanent.
On s’est bien amusée à en savoir plus, il y a des chances que l’on recommence, ça vous a plu?