J’ai eu le projet de rouler à vélo, de façon quasi-définitive. L’école est à côté de la maison, pour l’instant mon cabinet est, lui aussi, à côté de chez moi. Il ne me manquait plus qu’à gérer les activités des enfants. En maman organisée, je les ai toutes casées le mercredi. Je n’ai vraiment besoin de la voiture que le mercredi. Le reste du temps, je peux me déplacer à vélo et/ou en tramway.
Au final, mon homme n’ayant pas la même fibre écolo, que moi. Il a mis un veto sur le partage de sa voiture. En parallèle, j’ai eu une offre intéressante pour déplacer mon cabinet. Mais cela implique d’avoir une voiture au moins à court terme. Et, comme si je devais encore hésiter, le 8 juin, nous sommes nomades. Nous faisons des travaux chez nous, ce qui implique de déménager durant l’été. Les vacances devraient être itinérantes, ce qui en fait un joli projet, mais rend la voiture indispensable.
En attendant, pour un mois, je n’ai définitivement pas de voiture. La mienne est en panne, et la nouvelle ne sera pas là au moins trois semaines. Je n’ai pas le choix, depuis une semaine, je ressors mon vieux vélo.
10 jours plus tard à vélo
Je reconnais que cela demande de l’organisation : les courses, les rendez-vous hebdomadaires… La semaine prochaine, on part tous les trois à vélo chez la kiné faciale. Je me dis que pour un mois, c’est faisable. Lorsque je me déplace seule, je le fais aux heures creuses. Ainsi, je peux embarquer le vélo dans le tram. Le soir, je roule en voiture, si j’ai besoin de sortir.
Par le passé, je m’étais lancé le défi de rouler durant un mois, avec un vélo électrique. C’était un défi de début d’année, j’ai dû le faire en février. C’était une expérience agréable. On se rend compte que l’on ne perd pas tant de temps. Si vous voulez lire l’article, il est ici
Pour l’instant, j’ai investi sur mon vieux vélo. Je lui fais faire une révision complète. Et le voilà sur pied. Bon, j’ai déraillé une fois déjà, mais je m’en suis sortie. Je me dis que cette expérience, à terme nous permettra de mètre en place de nouveaux réflexes. Comme laisser la voiture pour prendre le vélo selon les trajets.
S’équiper
Si j’ai renoncé pour l’instant à m’acheter un vélo électrique, c’est parce que mes déplacements, ne nécessitent pas cet achat. Par contre, j’ai quand même pris soin d’équiper mon vélo.
Pour commencer, je lui ai passé un coup de peinture. Ensuite, j’ai filé acheter un cadenas. J’ai monté un panier dessus. À ce sujet, prenez un panier qui se fixe sur la roue, sinon ce n’est pas pérenne . Le mien m’a été offert. Il est attaché au guidon, je ne peux pas trop le charger.
J’ai même un gadget qui me donne l’heure et le nombre de km. Un cadeau.
Une Gourde et une attache pour la porter sur le vélo, pas dans le sac à dos.
Je me suis trouvé un casque, qui me donne envie de le porter.
Mon couteau Deejo, de quoi me laver les mains et une pince pour tenir ma jupe. Il me manque une paire de serre pantalon.
Quitte à avoir un vieux vélo, autant se faire plaisir sur les accessoires.
Je cherche un joli sac à dos, à la fois pratique et élégant, je ne suis pas décidée. Si vous avez des idées, partagez-les.
Il me manquait un détail, et je me suis rapidement rendu compte de son importance.
La découverte de Liggoo
Un soir, en rentrant, plus tôt dans la saison, je me suis faite surprendre, par la tombée du jour et, le manque de lumière. Mon vélo n’avait pas de loupiote.
J’ai cherché, un objet pouvant faire double emploi, s’ôter facilement.
C’est comme ça que je suis tombée sur Liggoo .
C’est une entreprise française, qui fabrique en France et commercialise, exactement ce dont j’avais besoin.
La lumière qu’il propose est modulable, elle permet d’être clipsée soit sur le guidon, soit en frontale. Il est facile de l’utiliser pour de multiples activités. Elle est rechargeable, s’adapte à tout type d’activités, intérieures, extérieures, de loisirs, professionnelles. La lumière Liggoo est totalement modulable.