Aujourd’hui, je vous partage mes dernières lectures. Lire reste un de mes passe-temps favori. La lecture, permet au cerveau d’être actif, de travailler son imaginaire et de ralentir. Lire, permet de calmer l’esprit de se changer les idées et facilite l’endormissement, entre autres choses. Si le sujet vous intéresse, rendez-vous ici pour en savoir plus. Les différents ouvrages de cet article, me sont tombés dans les mains un peu au hasard, recommandés par des amies, ou suivant des comptes Instagram.
Si celui que j’ai préféré reste, Elle voulait être heureuse de Géraldine Dalban-Moreynas, tous sont à découvrir et vous feront passer un moment agréable.
Mon numéro un: « Elle voulait juste être heureuse »
C’est le dernier titre de Géraldine Dalban-Moreynas « Elle voulait juste être heureuse ». Je n’ai pas lu le premier livre de Géraldine Dalban-Moreybas. Peut-être que je finirais par le faire. Je suis Géraldine sur Instagram. J’aime sa transparence et sa manière de partager ses idées et ressentis. Elle est entrepreuneuse. Elle a monté une boutique de déco, après avoir eu une agence de communication. C’est son quotidien qu’elle partage sur le réseau social.
Au fil de ses publications, j’ai découvert qu’elle travaillait sur un nouveau roman. Cet opus est facile à lire et parle sûrement à toutes celles qui ont envie d’être heureuse, même si refaire sa vie peut s’avérer compliqué. Ce livre parle de confiance, en soi, en l’autre, de ce que l’on met de soi dans une histoire. Des enfants que l’on embarque au passage et de ce qui reste après. De comment on se relève, on reconstruit, de ce qui nous tient.
Je l’ai lu très vite. Je pourrais avoir envie de le relire. Sûrement parce que dans l’histoire de Géraldine, il y a un peu de mon d’histoire, des résonances communes. Et que se reconnaitre dans le vécu de l’autre, de ses interrogations, de ses passages à vide cela fait du bien et aide à avancer.
Mon second préféré: « Là où chantent les écrevisses »
J’ai beaucoup aimé cet ouvrage de Délia Owens. Il aurait pu être mon number one, la différence se joue au fait que celui de Géraldine Dalban-Moreynas parle plus à ma réalité.
« Là où chantent les écrevisses », nous raconte une histoire de femme, l’histoire d’une vie, fidèle à soi-même. Une femme qui ne se laisse pas faire et qui nous montre que tout est possible même quand on est dépossédé de tout et surtout de l’essentiel. Comment on grandit, quand on grandit seule ?
Ce roman revisite nos attentes, nos peurs, et titille notre détermination.
Une ode à la vie, à l’amour de soi, celui qui aide à avancer, celui qui tient debout et aussi à l’amour de la nature.
A lire assurément, pour sourire, pleurer un peu et se rappeler que c’est possible.
Celui qui fait passer le temps: « Minuit! New-York ».
« Minuit! New-York » de Mark Miller, m’a fait passer le temps. On est loin de la grande littérature et loin du partage d’expérience. C’est une jolie histoire d’amour, avec en toile de fond New-York et Paris. Une jeune femme mordue de peinture, riche, ouvre une succursale de son agence à New-York. Comme elle est jolie, fortunée, extrêmement sympathique, elle attire comme de bien entendu, les jalousies. Un peu polar, romantique, il tient la route et ne finit pas vraiment comme on le désirerait, mais c’est sûrement ça qui le sauve de la platitude.
A lire un dimanche de pluie ou sous un figuier à l’heure de la sieste, pour s’évader et rêvasser un peu.
A laisser trainer sur la table du salon l’air de rien
« Le guide de la Gentlewoman » par Vanessa Seward est un très bel objet, que l’on aura plaisir à laisser trainer nonchalamment sur la table basse du salon. C’est aussi un joli guide de savoir-vivre. Il s’inscrit directement dans la lignée de La Parisienne d’Ines de la Fressange, à cela près que Vanessa ne nous vend rien, elle partage son expérience de femme créatrice de mode. De ses années chez Chanel, aux créations pour la maison Azzaro en passant par la création de sa marque Vanessa Seward, incarne celle que l’on nomme La Parisienne.
Pour être Parisienne, nul besoin d’être née à Paris. La Parisienne, c’est cette femme intemporelle, qu’un rien habille, un brin désinvolte, qui sait s’amuser, avoir de l’humour, être présente sans en faire trop, rayonner en mettant l’autre en avant. Un exercice de style, retarder ici sous force d’un abécédaire agréable à lire, plein de petites anecdotes et de conseils délicieusement croustillants. A feuilleter avec nonchalance en se demandant: « Est-ce que Catherine Deneuve montrerait ça ? «
Pour toutes celles qui aiment les icônes et le monde de la mode.
Bonne lecture, et pour retrouver mon précédent article sur le sujet, c’est par ici.